Parc éolien offshore au Tréport : « Une bonne nouvelle pour l’emploi et le climat ! »

Mercredi 7 mai, la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal a annoncé les résultats du second appel d’offres dans l’éolien offshore. Le parc du Tréport, d’une puissance prévue de 500 mégawatts, est ainsi attribué au consortium GDF Suez – Areva.

Le groupe Ecologiste du Conseil Régional de Picardie se félicite de cette nouvelle étape décisive. En effet, alors que le premier appel d’offres n’avait pas été concluant, les écologistes ont toujours soutenu l’implantation de ce projet de parc éolien offshore dit des « Deux Côtes ».

Les écologistes se réjouissent également du suivi par le gouvernement de l’avis de la Commission de régulation de l’énergie d’attribuer les deux parcs au consortium GDF Suez-Areva. L’offre proposée semblait en effet la plus aboutie et la plus pertinente pour le dynamisme économique des régions Picardie et Haute-Normandie. Le projet d’une filière éolienne 100% française portée par ce consortium a déjà rencontré un écho positif auprès d’entreprises régionales susceptible de se développer sur ce nouveau créneau.
Ce projet conforte l’effort de la région Picardie dans le développement et la structuration de la filière éolienne, créatrice d’emplois durables et de retombées économiques dans les territoires. Il s’inscrit dans la continuité de notre démarche en matière de formation et de recherche et développement, comme l’illustre bien le centre WindLAB, implanté à Amiens.

Pour Christophe Porquier, vice-président Energie, Climat, Eco-Développement : « le développement de l’éolien offshore est un élément important de la transition énergétique. En Picardie, nous avons adopté un Schéma Régional Climat Air Energie ambitieux qui se donne pour objectif 90% d’énergie renouvelable dans le mix énergétique à l’horizon 2050. Nous devons nous appuyer sur le fort potentiel éolien de la région Picardie pour faire créer les conditions d’une économie durable et de la préservation de l’environnement. Ce parc, c’est donc une victoire qui doit en appeler d’autres, pour un modèle économique moins polluant et plus vertueux ».

 

Christophe Porquier,

Vice-Président Energie Climat Eco-Développement.

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